CELINE DION

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Musique

oct 4 2005

On ne change pas

On ne change pas est le premier Best Of en français de Céline, regroupe des tubes comme « D’amour ou d’amitié », « Ziggy », « Pour que tu m’aimes encore », « S’il suffisait d’aimer » et « Sous le vent. » Cette superbe compilation double inclut également trois titres inédits : « Je ne vous oublie pas », « Tous les secrets » et « I Believe In You » (duo avec IL DIVO)

On ne change pas est également disponible en édition digipack de collection comprenant un DVD bonus avec 30 minutes d’images exclusives et le clip de « Je ne vous oublie pas »

Liste des chansons

  • 1. Je ne vous oublie pas (inĂ©dit)

    Dans mes absences parfois sans doute
    J’aurais pu m’éloigner
    Comme si j’avais perdu ma route
    Comme si j’avais changé
    Alors j’ai quelques mots tendresse
    Juste pour le dire Je ne vous oublie pas
    Non, jamais
    Vous ĂŞtes au creux de moi
    Dans ma vie, dans tout ce que je fais
    Mes premiers amours, mes premiers rĂŞves
    Sont venus avec vous
    C’est notre histoire à nous
    Je ne vous oublie pas
    Non, jamais
    Vous savez tant de moi
    De ma vie, de tout ce que j’en fais
    Alors mes bonheurs, mes déchirures
    Se partagent avec vous
    C’est notre histoire à nous
    Je ne vous oublie pas

    Parce que le temps peut mettre en cage
    Nos rĂŞves et nos envies
    Je fais mes choix et mes voyages
    Parfois j’en paie le prix
    La vie me sourit ou me blesse
    Mais quelle que soit ma vie

    Je ne vous oublie pas
    Non, jamais
    Vous ĂŞtes au creux de moi
    Dans ma vie, dans tout ce que je fais
    Mes premiers amours, mes premiers rĂŞves
    Sont venus avec vous
    C’est notre histoire à nous
    Je ne vous oublie pas

    Même à l’autre bout de la terre
    Je continue mon histoire avec vous

    Je ne vous oublie pas
    Non, jamais
    Vous ĂŞtes au creux de moi
    Dans ma vie, dans tout ce que je fais
    Mes premiers amours, mes premiers rĂŞves
    Sont venus avec vous
    C’est notre histoire à nous
    Je ne vous oublie pas
    Non, jamais
    Vous savez tant de moi
    De ma vie, de tout ce que j’en fais
    Alors mes bonheurs, mes déchirures
    Se partagent avec vous
    C’est notre histoire à nous
    Je ne vous oublie pas


    (Jacques Veneruso)

  • 2. Tous les secrets (inĂ©dit)

    Ton regard comme une caresse
    Je me sens si bien
    Puis tes yeux s’envolent et me laissent
    Et je n’ai plus rien
    Qu’un reflet de toi
    Tu es loin déjà

    Je ne connais pas
    Tous les secrets de ton coeur
    Mais je viens quand mĂŞme, tu vis
    Quelque part entre douleur et douceur
    Mais je viens quand mĂŞme
    Je te suis quand mĂŞme

    Tu m’entoures comme un drap de soie
    Je me sens si bien
    Puis je perds l’écrin de tes bras
    Et je n’ai plus rien
    Tu t’en vas là-bas
    Tu es loin de moi

    Je ne connais pas
    Tous les secrets de ton coeur
    Mais je viens quand mĂŞme, tu vis
    Quelque part entre douleur et douceur
    Mais je viens quand mĂŞme
    Je te suis quand mĂŞme


    (K. Lundin / S. Thott / D. Thott / C. Björsell / J. Veneruso)

  • 3. Pour que tu m'aimes encore

    J’ai compris tous les mots, j’ai bien compris, merci
    Raisonnable et nouveau, c’est ainsi par ici
    Que les choses ont changé, que les fleurs ont fané
    Que le temps d’avant, c’était le temps d’avant
    Que si tout zappe et lasse, les amours aussi passent

    Il faut que tu saches

    J’irai chercher ton coeur si tu l’emportes ailleurs
    Même si dans tes danses d’autres dansent tes heures
    J’irai chercher ton âme dans les froids dans les flammes
    Je te jetterai des sorts pour que tu m’aimes encore

    Fallait pas commencer m’attirer me toucher
    Fallait pas tant donner moi je sais pas jouer
    On me dit qu’aujourd’hui, on me dit que les autres font ainsi
    Je ne suis pas les autres
    Avant que l’on s’attache, avant que l’on se gâche

    Je veux que tu saches

    J’irai chercher ton coeur si tu l’emportes ailleurs
    Même si dans tes danses d’autres dansent tes heures
    J’irai chercher ton âme dans les froids dans les flammes
    Je te jetterai des sorts pour que tu m’aimes encore

    Je trouverai des langages pour chanter tes louanges
    Je ferai nos bagages pour d’infinies vendanges
    Les formules magiques des marabouts d’Afrique
    J’les dirai sans remords pour que tu m’aimes encore

    Je m’inventerai reine pour que tu me retiennes
    Je me ferai nouvelle pour que le feu reprenne
    Je deviendrai ces autres qui te donnent du plaisir
    Vos jeux seront les nôtres si tel est ton désir
    Plus brillante plus belle pour une autre Ă©tincelle
    Je me changerai en or pour que tu m’aimes encore


    (Jean-Jacques Goldman)

  • 4. S'il suffisait d'aimer

    Je rêve son visage je décline son corps
    Et puis je l’imagine habitant mon décor
    J’aurais tant à lui dire si j’avais su parler
    Comment lui faire lire au fond de mes pensées?

    Mais comment font ces autres à qui tout réussit?
    Qu’on me dise mes fautes mes chimères aussi
    Moi j’offrirais mon âme, mon coeur et tout mon temps
    Mais j’ai beau tout donner, tout n’est pas suffisant

    S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
    Si l’on changeait les choses un peu, rien qu’en aimant donner
    S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
    Je ferais de ce monde un rêve, une éternité

    J’ai du sang dans mes songes, un pétale séché
    Quand des larmes me rongent que d’autres ont versées
    La vie n’est pas étanche, mon île est sous le vent
    Les portes laissent entrer les cris mĂŞme en fermant

    Dans un jardin l’enfant, sur un balcon des fleurs
    Ma vie paisible où j’entends battre tous les coeurs
    Quand les nuages foncent, présages des malheurs
    Quelles armes répondent aux pays de nos peurs?

    S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
    Si l’on changeait les choses un peu, rien qu’en aimant donner
    S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
    Je ferais de ce monde un rêve, une éternité

    S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
    Si l’on pouvait changer les choses et tout recommencer
    S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
    Nous ferions de ce rĂŞve un monde
    S’il suffisait d’aimer


    (Jean-Jacques Goldman)

  • 5. Sous le vent (duet avec Garou)

    Et si tu crois que j’ai eu peur
    C’est faux
    Je donne des vacances Ă  mon coeur
    Un peu de repos
    Et si tu crois que j’ai eu tort
    Attends
    Respire un peu le souffle d’or
    Qui me pousse en avant
    Et

    Fais comme si j’avais pris la mer
    J’ai sorti la grand’voile
    Et j’ai glissé sous le vent
    Fais comme si je quittais la terre
    J’ai trouvé mon étoile
    Je l’ai suivie un instant
    Sous le vent

    Et si tu crois que c’est fini
    Jamais
    C’est juste une pause un répit
    Après les dangers
    Et si tu crois que je t’oublie
    Écoute
    Ouvre ton corps aux vents de la nuit
    Ferme les yeux
    Et

    Est-ce que tu seras près de moi
    Sous le vent


    (J. Veneruso)

  • 6. Tout l'or des hommes

    J’ai déposé mes armes
    A l’entrée de ton coeur
    Sans combat
    Et j’ai suivi tes charmes
    Lentement, en douceur
    Quelque part lĂ -bas
    Au milieu de tes rĂŞves
    Aux creux de ton sommeil
    Dans tes nuits
    Un jour nouveau se lève
    A nul autre pareil
    Et tu sais, depuis…

    Tout l’or des hommes
    Ne vaut plus rien
    Si tu es loin de moi
    Tout l’amour du monde
    Ne me fait rien
    Alors surtout, ne change pas

    C’est un nouveau voyage
    Le destin, le hasard
    Peu importe
    Qui m’a montré le passage
    Qui allait jusqu’à toi
    Et tu sais, depuis…

    Tout l’or des hommes
    Ne vaut plus rien
    Si tu es loin de moi
    Tout l’amour du monde
    Ne me fait rien
    Surtout, ne change pas


    (Jacques Veneruso)

  • 7. Je sais pas

    Détourner des rivières, porter des poids
    Traverser des mers, je saurais faire

    DĂ©fier des machines, narguer des lois
    Les foudres divines, ça m'effraie pas

    J'sais prendre un coup, le rendre aussi
    River des clous, ça j'ai appris

    J'suis pas victime, j'suis pas colombe
    Et pour qu'on m'abîme, faut qu'je tombe

    Je sais les hivers, je sais le froid
    Mais la vie sans toi, je sais pas

    Je savais le silence depuis longtemps
    J'en sais la violence, son goût de sang

    Rouges colères, sombres douleurs
    Je sais ces guerres, j'en ai pas peur

    Je sais me défendre, j'ai bien appris
    On est pas des tendres par ici

    Je sais les hivers, je sais le froid
    Mais la vie sans toi, je sais pas

    Lutte après lutte, pire après pire
    Chaque minute, j'ai cru tenir

    J'voudrais apprendre jour après jour
    Mais qui commande Ă  nos amours?

    Je sais les hivers, je sais le froid
    Mais la vie sans toi, je sais pas

    Je sais pas
    Je sais pas


    (Jean-Jacques Goldman / J. Kapler)

  • 8. On ne change pas

    On ne change pas
    On met juste les costumes d’autres sur soi
    On ne change pas
    Une veste ne cache qu’un peu de ce qu’on voit
    On ne grandit pas
    On pousse un peu, tout juste
    le temps d’un rêve, d’un songe
    Et les toucher du doigt

    Mais on n’oublie pas
    L’enfant qui reste, presque nu
    les instants d’innocence
    Quand on ne savait pas

    On ne change pas
    On attrape des airs et des poses de combat
    On ne change pas
    On se donne le change, on croit
    que l’on fait des choix
    Mais si tu grattes lĂ 
    Tout près de l’apparence tremble
    un petit qui nous ressemble
    On sait bien qu’il est là
    On l’entend parfois
    Sa rengaine insolente
    qui s’entête et qui répète
    Oh ne me quitte pas

    On n’oublie jamais
    On a toujours un geste
    qui trahit qui l’on est
    Un prince, un valet
    Sous la couronne un regard
    une arrogance, un trait
    D’un prince ou d’un valet
    Je sais tellement ça
    J’ai copié des images
    et des rêves que j’avais
    Tous ces milliers de rĂŞves
    Mais si près de moi
    Une petite fille maigre
    marche à Charlemagne, inquiète
    Et me parle tout bas

    On ne change pas, on met juste
    les costumes d’autres et voilà
    On ne change pas, on ne cache
    qu’un instant de soi

    Une petite fille
    Ingrate et solitaire marche
    et rĂŞve dans les neiges
    en oubliant le froid

    Si je la maquille
    Elle disparaît un peu,
    le temps de me regarder faire
    Et se moquer de moi

    Une petite fille
    Une toute petite fille


    (Jean-Jacques Goldman)

  • 9. J'irai oĂą tu iras (en dou avec J-J. Goldman)

    Chez moi les forĂŞts se balancent
    Et les toits grattent le ciel
    Les eaux des torrents sont violence
    Et les neiges sont Ă©ternelles
    Chez moi les loups sont Ă  nos portes
    Et tous les enfants les comprennent
    On entend les cris de New York
    Et les bateaux sur la Seine

    Va pour tes forĂŞts tes loups tes gratte-ciel
    Va pour les torrents tes neiges Ă©ternelles
    J'habite oĂą tes yeux brillent oĂą ton sang coule
    OĂą des bras me serrent

    J'irai oĂą tu iras, mon pays sera toi
    J'irai oĂą tu iras qu'importe la place
    Qu'importe l'endroit

    Je veux des cocotiers des plages
    Et des palmiers sous le vent
    Le feu du soleil au visage
    Et le bleu des océans
    Je veux des chameaux des mirages
    Et des déserts envoûtants
    Des caravanes et des voyages comme sur les dépliants

    Va pour tes cocotiers tes rivages
    Va pour tes lagons tout bleu balançant
    J'habite oĂą l'amour est un village
    LĂ  oĂą l'on m'attend

    J'irai oĂą tu iras, mon pays sera toi
    J'irai oĂą tu iras, qu'importe la place
    Qu'importe l'endroit

    Prends tes clic et tes clac et tes rĂŞves et ta vie
    Tes mots, tes tabernacles et ta langue d'ici
    L'escampette et la poudre et la fille de l'air
    Montre-moi tes Ă©dens montre-moi tes enfers
    Tes nord et puis tes sud et tes zestes d'ouest

    Chez moi les forĂŞts se balancent
    Et les toits grattent le ciel
    Les eaux des torrents sont violence
    Et les neiges sont Ă©ternelles
    Chez moi les loups sont Ă  nos portes
    Et tous les enfants les comprennent
    On entend les cris de New York
    Et les bateaux sur la Seine

    Qu'importe j'irai oĂą bon te semble
    J'aime tes envies j'aime ta lumière
    Tous les paysages te ressemblent
    Quand tu les Ă©claires

    J'irai oĂą tu iras, mon pays sera toi
    J'irai oĂą tu iras qu'importe la place
    Qu'importe l'endroit


    (Jean-Jacques Goldman)

  • 10. Et je t'aime encore

    Ici l’automne chasse un été de plus
    La 4L est morte on a repeint la rue
    Elise a deux dents, Petit Jean est grand et fort
    J’apprends la guitare, j’en suis à trois accords

    J’ai trouvé des girolles au marché ce matin
    J’aimerais vivre à Rome oh j’aimerais bien
    J’ai planté des tulipes elles tardent à éclore
    C’est tout je crois, ah oui, je t’aime encore

    Mais oĂą es-tu ?
    Aussi loin sans mĂŞme une adresse
    Et que deviens-tu ?
    L’espoir est ma seule caresse

    J’ai coupé mes cheveux, « enfin » dirais-tu
    Oh ça m’a fait bizarre mais j’ai survécu
    On m’invite, on me désire et je danse et je sors
    Et quand je danse je t’aime encore

    Mais oĂą es-tu ?
    Aussi loin sans mĂŞme une adresse
    Et que deviens-tu ?
    L’attente est ma seule caresse

    Et je t’aime encore
    Comme dans les chansons banales
    Et ça me dévore
    Et tout le reste m’est égal

    De plus en plus fort
    A chaque souffle Ă  chaque pas
    Et je t’aime encore
    Et toi tu ne m’entends pas


    (Jean-Jacques Goldman / J. Kapler)

  • Y’a pas de voiles aux volets de mes frères
    Y’a pas d’opale autour de mes doigts
    Ni cathédrale où cacher mes prières
    Juste un peu d’or autour de ma voix

    Je vais les routes et je vais les frontières
    Je sens, j’écoute, et j’apprends, je vois
    Le temps s’égoutte au long des fuseaux horaires
    Je prends, je donne, avais-je le choix?

    Tel est mon destin
    Je vais mon chemin
    Ainsi passent mes heures
    Au rythme entĂŞtant des battements de mon coeur

    Des feux d’été je vole aux sombres hivers
    Des pluies d’automne aux étés indiens
    Terres gelées aux plus arides déserts
    Je vais je viens, ce monde est le mien

    Je vis de notes et je vis de lumière
    Je virevolte Ă  vos cris, vos mains
    La vie m’emporte au creux de tous ses mystères
    Je vois dans vos yeux mes lendemains

    Tel est mon destin
    Je vais mon chemin
    Ainsi passent mes heures
    Au rythme entĂŞtant des battements de mon coeur

    Je vais les routes et je vais les frontières
    Je sens, j’écoute, et j’apprends, je vois
    Le temps s’égoutte au long des fuseaux horaires
    Je prends, je donne, avais-je le choix?

    Je prends le blues aux signaux des répondeurs
    Je prends la peine aux aéroports
    Je vis l’amour à des kilomètres ailleurs
    Et le bonheur à mon téléphone

    Tel est mon destin
    Je vais mon chemin
    Ainsi passent mes heures
    Au rythme entĂŞtant des battements de mon coeur


    (Jean-Jacques Goldman)

  • 12. Je lui dirai

    Je lui dirai qu’il est de ce pays
    Où son grand-père était bûcheron
    Que dans son sang l’Orient coule aussi
    Que les mélanges font de beaux enfants
    Qu’il est fort et bien vivant

    Je lui dirai qu’il est né de l’amour
    Que nous l’attendions passionnément
    Que chaque nuit s’efface au nouveau jour
    Qu’il sera grand mais qu’il a bien le temps
    Oh dieu qu’il a bien le temps

    Et que la vie l’appelle que le monde l’attend
    Que la terre est si belle et le ciel est si grand
    Qu’il est beau, que je l’aime, qu’il est ma vie, ma joie
    Qu’il est un parmi des millions d’humains
    Mais bien l’unique pour moi

    Je lui dirai qu’ici bas tout s’apprend
    Le bien le mal et mĂŞme le bonheur
    Qu’il ne perde jamais ses yeux d’enfant
    Devant trop de malheurs et de laideur
    Qu’il regarde avec son coeur

    Je lui dirai d’être sage et prudent
    D’aller frôler les glaces et les feux
    Qu’il goûte à tout mais sans jamais dépendre
    Que trop peut ĂŞtre pire que trop peu
    Oh bien pire que trop peu

    Et que la vie l’appelle que le monde l’attend
    Que la terre est si belle et le ciel est si grand
    Qu’il est beau, que je l’aime, qu’il est ma vie, ma joie
    Qu’il est un parmi des millions d’humains
    Mais bien l’unique pour moi

    Je lui dirai les chansons les poèmes
    Qu’il n’y a pas d’amour sans histoire
    Que le bonheur est un grain que l’on sème
    Qu’amour et santé ne s’achètent pas
    Et qu’on n’est riche que de ça

    Je lui dirai qu’un jour une autre femme
    Viendra l’aimer et qu’il l’aimera
    Que j’en mourrai de bonheur et de larmes
    Mais que nous serons là pas après pas
    Que c’est la vie et sa loi

    Et que la vie l’appelle que le monde l’attend
    Que la terre est si belle et le ciel est si grand
    Qu’il est beau, que je l’aime, qu’il est ma vie, ma joie
    Qu’il est un parmi des millions d’humains
    Mais bien l’unique pour moi

    Qu’il est beau que je l’aime
    Qu’au-delà du mystère
    Il est ma plus belle raison de vivre
    Ma réponse à l’infini


    (Jean-Jacques Goldman)

  • 13. Les derniers seront les premiers (en dou avec J-J. Goldman)

    Quand marcher sans autre but
    Plus de passe demain fourbu
    Dans le néant du froid de la rue

    Quand les mots n’existent plus
    Quand l’espérance oubliée, dissolue
    Quand les alcools même ne saoûlent plus
    Restent les phrases écorchées
    De ces phrase qu’on jette avant de renoncer

    Les derniers s’ront les premiers
    Dans l’autre réalité
    Nous serons princes d’éternité

    Un billet sur le trottoir
    Dans un journal d’autres histoires
    Un rayon de soleil au hasard

    Une fleur abandonnée
    Ce que les autres ont laissé de côté
    Plus assez neuf, plus assez
    Quand ta place est au-dehors
    Ne reste que ces phrases comme île au trésor

    Les derniers s’ront les premiers
    Dans l’autre réalité
    Nous serons princes d’éternité


    (Jean-Jacques Goldman)

  • Vole vole petite aile
    Ma douce, mon hirondelle
    Va t’en loin, va t’en sereine
    Qu’ici rien ne te retienne

    Rejoins le ciel et l’éther
    Laisse-nous laisse la terre
    Quitte manteau de misère
    Change d’univers

    Vole vole petite soeur
    Vole mon ange, ma douleur
    Quitte ton corps et nous laisse
    Qu’enfin ta souffrance cesse

    Va rejoindre l’autre rive
    Celle des fleurs et des rires
    Celle que tu voulais tant
    Ta vie d’enfant

    Vole vole mon amour
    Puisque le nĂ´tre est trop lourd
    Puisque rien ne te soulage
    Vole Ă  ton dernier voyage
    Lâche tes heures épuisées
    Vole, tu l’as pas volé
    Deviens souffle, sois colombe
    Pour t’envoler

    Vole vole petite flamme
    Vole mon ange, mon âme
    Quitte ta peau de misère
    Va retrouver la lumière


    (Jean-Jacques Goldman)

  • 15. Ziggy (un garçon pas comme les autres)

    Ziggy, il s’appelle Ziggy
    Je suis folle de lui
    C’est un garçon pas comme les autres
    Mais moi je l’aime, c’est pas d’ma faute
    MĂŞme si je sais
    Qu’il ne m’aimera jamais

    Ziggy, il s’appelle Ziggy
    Je suis folle de lui
    La première fois que je l’ai vu
    Je m’suis jetée sur lui dans la rue
    J’lui ai seulement dit
    Que j’avais envie de lui

    Il Ă©tait quatre heures du matin
    J’étais seule et j’avais besoin
    De parler à quelqu’un
    Il m’a dit: viens prendre un café
    Et on s’est raconté nos vies
    On a ri, on a pleuré

    Ziggy, il s’appelle Ziggy
    C’est mon seul ami
    Dans sa tête y’a que d’la musique
    Il vend des disques dans une boutique
    On dirait qu’il vit
    Dans une autre galaxie

    Tous les soirs, il m’emmène danser
    Dans des endroits très très gais
    Où il a des tas d’amis
    Oui, je sais, il aime les garçons
    Je devrais me faire une raison
    Essayer de l’oublier… mais

    Ziggy, il s’appelle Ziggy
    Je suis folle de lui
    C’est un garçon pas comme les autres
    Et moi je l’aime, c’est pas d’ma faute
    MĂŞme si je sais
    Qu’il ne m’aimera jamais.


    (Luc Plamondon / M. Berger)

  • 16. L'amour existe encore

    Quand je m’endors contre ton corps
    Alors je n’ai plus de doute
    L’amour existe encore

    Toutes mes années de déroute
    Toutes, je les donnerais toutes
    Pour m’ancrer à ton port

    La solitude que je redoute
    Qui me guette au bout de ma route
    Je la mettrai dehors

    Pour t’aimer une fois pour toutes
    Pour t’aimer coûte que coûte
    Malgré ce mal qui court
    Et met l’amour à mort

    Quand je m’endors contre ton corps
    Alors je n’ai plus de doute
    L’amour existe encore

    L’amour existe encore…

    On n’était pas du même bord
    Mais au bout du compte on s’en fout
    D’avoir raison ou d’avoir tort

    Le monde est mené par des fous
    Mon amour il n’en tient qu’à nous
    De nous aimer plus fort

    Au-delĂ  de la violence
    Au-delà de la démence
    Malgré les bombes qui tombent
    Aux quatre coins du monde

    Quand je m’endors contre ton corps
    Alors je n’ai plus de doute
    L’amour existe encore
    L’amour existe encore
    L’amour existe encore…

    Pour t’aimer une fois pour toutes
    Pour t’aimer coûte que coûte
    Malgré ce mal qui court
    Et met l’amour à mort

    Quand je m’endors contre ton corps
    Alors je n’ai plus de doute
    L’amour existe encore


    (Luc Plamondon / R. Cocciante)

  • 17 . I Believe in You (duet with Il Divo) (Bonus Track)

    Lonely
    The path you have chosen
    A restless road
    No turning back
    One day you
    Will find your light again
    Don’t you know
    Don’t let go
    Be Strong

    Follow your heart
    Let your love lead through the darkness
    Back to a place you once knew
    I believe I believe I believe
    In you
    Follow your dreams
    Be yourself, an angel of kindness
    There’s nothing that you can not do
    I believe I believe I believe
    In you

    Tout seul
    Tu t’en iras tout seul
    Coeur ouvert
    A l’univers
    Poursuis ta quĂŞte
    Sans regarder derrière
    N’attends pas
    Que le jour
    Se lève

    Suis ton Ă©toile
    Va jusqu’où ton rêve t’emporte
    Un jour tu le toucheras
    Si tu crois si tu crois si tu crois
    En toi
    Suis ta lumière
    N’éteins pas la flamme que tu portes
    Au fonds de toi souviens-toi
    Que je crois que je crois que je crois
    En toi

    Someday I’ll find you
    Someday you’ll find me to
    And when I hold you close
    I’ll know that it’s true

    (Repeat English chorus)


    (J Elofsson / P. Magnusson / D. Kreuger / M. Saggese / L. Plamondon)

  • 18. Je danse dans ma tĂŞte

    L’avenir est planétaire
    Y’a six milliards d’humains sur terre
    Mais chacun vie sa vit en solitaire

    Chacun a ses habitudes
    Chacun a ses certitudes
    Et l’amour est la pire des solitudes

    Quand l’univers m’indiffère
    Quand j’ai plus envie de rien faire
    Quand ma vie m’endort comme un somnifère

    J’ai inventé la formule
    Qui vaut mieux que toutes les pilules
    Même si ça me donne l’air d’une somnambule

    Je de-de-de-danse dans ma tĂŞte
    Je de-de-de-danse dans ma tĂŞte
    Je de-de-de-danse dans ma tĂŞte

    Que je sois debout dans le métro
    Que je sois assise Ă  mon bureau
    Tous les jours les mĂŞmes mots
    Les mĂŞmes gestes de robot

    Y’a d’quoi dev’nir fou
    Et vous qu’en pensez-vous?
    Y’a vraiment d’quoi dev’nir fou
    Mais moi je m’en fou

    Je de-de-de-danse dans ma tĂŞte
    Je de-de-de-danse dans ma tĂŞte
    Je de-de-de-danse dans ma tĂŞte

    Quoi qu’on fasse ou quoi qu’on dise
    De partout on nous satellise
    On nous Ă©pie, on nous informatise

    À force de la regarder
    Je commence Ă  me demander
    Si ma télé ne va pas m’avaler

    Dehors les néons s’allument
    All right!
    J’préfère regarder la lune
    All night …
    Étendue nue sur mon lit
    Dans la chaleur de la nuit

    Les sirènes de police
    Hurlent comme des loups
    Je voudrais comme Alice
    Tomber dans un grand trou…

    Je de-de-de-danse dans ma tĂŞte
    Je de-de-de-danse dans ma tĂŞte
    Je de-de-de-danse dans ma tĂŞte


    (Luc Plamondon / R. Masumarra)

  • 19. On traverse un miroir

    Qu’est-ce qui se passe
    Quand on est lasse
    Quand le coeur a perdu ses couleurs
    Une Ă©motion
    Comme une invitation
    À chanter sans aucune raison
    Tout ça pour un regard ou deux
    Un sourire qui tremble un peu
    C’est l’amour, c’est l’accident
    On sent passer le courant

    Refrain:

    On traverse un miroir
    Malgre la peur d’y croire
    On se dit que cette fois-ci
    On aime Ă  la folie
    Une vie sans histoire
    C’est bien pire qu’un trou noir
    Sans hésiter, sans savoir
    On traverse un miroir

    Champagne en trop
    Rien n’est trop beau
    On a du mal Ă  trouver les mots
    On dit tout bas n’importe quoi
    Pour étouffer l’envie de crier
    On se tait, on reste accroché
    Comme deux enfants désespérés
    On rĂŞve de partager
    Une nuit comme au ciné

    Refrain


    (I. Minoke / R. Laffond)

  • 20. Partout je te vois

    J'ai tant besoin de toi
    Que j'invente des images
    Je joue avec tes yeux
    Quand tu n'es pas lĂ 
    J'Ă©claire la nuit
    Je colore les nuages
    Et ton visage
    Ne s'efface jamais

    Dans les rues de mon coeur
    Dans le soleil
    Et dans l'ombre
    Partout je te vois
    Dans le lit de ma main
    Dans tous mes rĂŞves
    Ici, partout
    Je ne vois que toi

    Ce que je veux te dire
    C'est que le temps serait triste
    Oh, si tu t'en allais
    Pour plus de quelques heures
    C'est parc'que tu m'aimes
    Que je vis et que j'existe
    Parc'que tu m'aimes
    Que je n'ai pas peur

    Dans les rues de mon coeur
    Dans le soleil
    Et dans l'ombre
    Partout je te vois
    Dans le lit de ma main
    Dans tous mes rĂŞves
    Ici, partout
    Je ne vois que toi

    Je ne veux pas
    Que quelque chose nous sépare
    Je ne veux pas
    Que tu te perdes loin de moi
    Je ne veux pas
    Que quelqu'un d'inconnu
    Passe un jour par lĂ 
    Et te prenne Ă  moi

    Dans les rues de mon coeur
    Dans le soleil
    Et dans l'ombre
    Partout je te vois
    Dans le lit de ma main
    Dans tous mes rĂŞves
    Ici, partout
    Je te vois...

    J'ai besoin de toi
    Je ne vis pas
    Je ne vois que toi
    Je ne suis rien
    Sans toi

    Je te vois partout


    (Eddy Marnay / Aldo Nova)

  • 21. Le blues du businessman

    J’ai du succès dans mes affaires
    J’ai du succès dans mes amours
    Je change souvent de secrétaire

    J’ai mon bureau en haut d’une tour
    D’où je vois la ville à l’envers
    D’où je contrôle mon univers

    J’passe la moitié d’ma vie en l’air
    Entre New York et Singapour
    Je voyage toujours en première

    J’ai ma résidence secondaire
    Dans tous les Hilton de la terre
    J’peux pas supporter la misère…

    J’suis pas heureux mais j’en ai l’air
    J’ai perdu le sens de l’humour
    Depuis que j’ai le sens des affaires

    J’ai réussi et j’en suis fier
    Au fond je n’ai qu’un seul regret
    J’fais pas c’que j’aurais voulu faire…

    J’aurais voulu être un artiste
    Pour pouvoir faire mon numéro
    Quand l’avion se pose sur la piste

    À Rotterdam ou à Rio
    J’aurais voulu être un chanteur
    Pour pouvoir crier qui je suis
    J’aurais voulu être un auteur
    Pour pouvoir inventer ma vie

    J’aurais voulu être un acteur
    Pour tous les jours changer de peau
    Et pour pouvoir me trouver beau
    Sur un grand Ă©cran en couleurs

    J’aurais voulu être un artiste
    Pour pouvoir ĂŞtre un anarchiste
    Et vivre comme… un millionnaire

    J’aurais voulu être un artiste
    Pour avoir le monde Ă  refaire
    Pour pouvoir dire pourquoi j’existe


    (Luc Plamondon / M. Berger)

  • 22. Incognito

    Incognito
    Bien dans ma peau
    Incognito
    Je recommence ma vie à zéro

    Incognito
    Sans dire un mot
    Incognito
    C’est pas facile de te tourner le dos

    M’en aller loin d’ici
    M’en aller loin de toi, loin de moi
    Loin d’ici une autre vie
    Loin de toi, il existe une autre moi

    M’en aller dans un pays
    OĂą personne ne saura qui je suis
    Solitaire je chercherai
    Sur la terre un coin où je t’oublierai

    Loin de nous
    Loin de tout
    Loin du monde où j’étais ta possession
    Loin de nous
    Loin de tout
    J’oublierai ton nom et mon nom

    Je m’en irai incognito
    Bien dans ma peau
    Incognito
    Je recommence ma vie à zéro

    Incognito
    Sans dire un mot
    Incognito
    C’est pas facile de te tourner le dos

    Je m’en vais aujourd’hui
    Loin de mes amis, de tes amis
    Qui diront ce qu’ils voudront
    Dans mon dos
    Je n’en saurai pas un mot

    Je m’en vais au bout du monde
    S’il le faut je m’ferai teindre en blonde
    Si jamais tu me revois
    J’te promets qu’ tu n’me reconnaîtras pas

    Loin de nous
    Loin de tout
    Loin du monde où j’étais ta possession
    Loin de nous
    Loin de tout
    J’oublierai ton nom et mon nom
    Je m’en irai

    Incognito
    Bien dans ma peau
    Incognito
    Je recommence ma vie à zéro

    Incognito
    Sans dire un mot
    Sans dire un mot
    Pas facile de te tourner le dos

    Incognito
    Bien dans ma peau
    Incognito
    Je recommence ma vie à zéro


    (Luc Plamondon / J-A. Roussel)

  • 23. Lolita (trop jeune pour aimer)

    Tu dis qu’ je suis trop jeune
    Pour vivre avec un homme
    Moi je te dis
    Je m’en fous, je m’en fous
    I love you

    Si tu ne veux pas prendre
    L’amour que je te donne
    Je pourrais te rendre fou, rendre fou
    Jusqu’au bout

    Lolita n’est pas trop jeune pour aimer
    N’est pas trop jeune pour se donner
    Quand le desir dévore son corps
    Jusqu’au bout de ses doigts
    Jamais trop jeune pour aimer
    Jamais trop jeune pour se donner
    Mais tu ignores le feu qui dort
    Au fond de moi

    Toutes ces nuits que j’ai passées
    Seule Ă  te caresser
    Il faut que tu me les rendes, me les rendes
    Une Ă  une

    Toutes ces nuits toute seule dans le noir
    De ma chambre
    À rêver que tu viens me prendre
    Me feras-tu encore attendre des jours, des mois

    Si tu ne viens pas, ce s’ra un autre
    Si ce n’est pas toi, ce s’ra ta faute
    Si je regrette toute ma vie
    Ma première nuit d’amour

    Trop jeune pour aimer
    Qu’est-ce que ça veut dire
    Lolita répond je m’en fous, je m’en fous
    I love you


    (Luc Plamondon / D. Lavoie)

  • 24. Des mots qui sonnent

    Come'on baby, fais-moi une chanson
    Réponds au moins au téléphone
    Je sais bien que ton occupation
    Préférée... c'est d'avoir du fun

    Mais moi j'ai besoin de ma chanson
    Toutes mes lignes de téléphone sonnent
    J'suis bookée à la télévision
    Dans tous les shows de promotion

    Qu'est-ce que j'vais faire
    Si j'ai pas ma chanson
    De quoi j'vais avoir l'air?
    Allo!
    J'leur ai promis un numéro un
    J'suis en studio demain matin

    Écris-moi des mots qui sonnent
    Des mots qui résonnent
    Écris-moi des mots qui donnent
    Un sens Ă  ma musique
    Écris-moi des mots qui sonnent
    Des mots qui raisonnent
    Écris-moi des mots qui cognent
    Sur l'accent tonique

    Écris-moi des mots
    Écris-moi des mots
    Écris-moi des mots qui sonnent

    J'peux venir te tenir la main
    Te faire un double expresso - oh!
    Faut qu'tu m'la finisses avant demain
    Sinon mon planning tombe Ă  l'eau

    Donne-moi au moins l'idée du refrain
    Faut que j'tourne une vidéo - oh!
    Tu peux parler de tout de rien
    Pourvu que j'aie mon scénario

    Donne-moi juste un heure
    De ton inspiration
    Pense Ă  tes droits d'auteur!!!
    Oh!oh!
    Faut que j'monte au moins jusqu'au Top Ten
    Y'faut qu'tu penses AM-FM

    Écris-moi des mots qui sonnent
    Des mots qui résonnent
    Écris-moi des mots qui donnent
    Un sens Ă  ma musique

    Écris-moi des mots qui sonnent
    Des mots qui raisonnent
    Écris-moi des mots right on
    Avec la rythmique

    Écris-moi des mots
    Écris-moi des mots
    Écris-moi des mots qui sonnent

    Écris-moi des lignes
    Qui swiguent comm' du Sting
    Qui sonnent
    Comm' du Jackson

    Des mots qui riment
    Des mots qui pensent
    Et qui balancent

    Des mots qui disent
    Ce que tu dirais, toi
    Si tu avais ma voix

    Écris-moi des mots qui dansent
    Écris-moi des mots qui sonnent

    Écris-moi des mots qui sonnent
    Des mots qui résonnent
    Écris-moi des mots qui donnent
    Un sens Ă  ma musique

    Écris-moi des mots qui sonnent
    Des mots qui raisonnent
    Écris-moi des mots qui cognent
    Sur l'accent tonique

    Écris-moi des mots qui sonnent
    Écris-moi des mots qui sonnent right on

    Y'faut qu'ça fasse un number one
    Y faut qu'ce soit l'fun

    Écris-moi des mots
    Écris-moi des mots
    Écris-moi des mots qui sonnent


    (Luc Plamondon / Aldo Nova - M. Simon)

  • 25. La voix du bon dieu

    Les mots pour consoler les mots pour l’amitié
    Ils sont encore plus beaux quand on peut les chanter
    C’est un filtre magique
    Ce don de la musique
    C’est comme un grand cadeau
    Que le ciel nous a fait
    On a tous un peu la voix du Bon Dieu
    Quand on rend les gens heureux
    On a le coeur loin du chagrin
    Quand on a chante bien

    Cette mélodie prise dans la vie
    Avec un sourire ou deux
    Dès qu’elle nous touche
    On entend mieux la voix du Bon Dieu

    Je n’aurais jamais cru
    Que tant de gens perdus
    Se cherchent des amis connus ou inconnus
    Moi de toutes les forces que l’avenir me donne
    Je veux leur apporter une chanson de plus

    On a tous un peu la voix du Bon Dieu
    Quand on rend les gens heureux
    On a le coeur loin du chagrin
    Quand on a chante

    On a tous un peu la voix du Bon Dieu
    Quand on rend les gens heureux
    On a le coeur loin du chagrin
    Quand on a chante bien

    Cette mélodie prise dans la vie
    Avec un sourire ou deux
    Dès qu’elle nous touche
    On entend mieux la voix du Bon Dieu


    (Eddy Marnay / S. Dumont)

  • 26. D'amour ou d'aimitĂ©

    Il pense Ă  moi je le vois je le sens je le sais
    Et son sourire ne ment pas quand il vient me chercher
    Il aime bien me parler des choses qu’il a vues
    Du chemin qu’il a fait et de tous ses projets
    Je crois pourtant qu’il est seul et qu’il voit d’autres filles
    Je ne sais pas ce qu’elles veulent ni les phrases qu’il dit
    Je ne sais pas oĂą je suis quelque part dans sa vie
    Si je compte aujourd’hui plus qu’une autre pour lui

    Il est si près de moi pourtant je ne sais pas comment l’aimer
    Lui seul peut décider qu’on se parle d’amour ou d’amitié
    Moi je l’aime et je peux lui offrir ma vie
    Même s’il ne veut pas de ma vie

    Je rêve de ses bras oui mais je ne sais pas comment l’aimer
    Il a l’air d’hésiter entre une histoire d’amour ou d’amitié
    Et je suis comme une île en plein océan
    On dirait que mon coeur est trop grand

    Rien à lui dire il sait bien que j’ai tout à donner
    Rien qu’à sourire à l’attendre à vouloir le gagner
    Mais qu’elles sont tristes les nuits le temps me paraît long
    Et je n’ai pas appris à me passer de lui

    Il est si près de moi pourtant je ne sais pas comment l’aimer
    Lui seul peut décider qu’on se parle d’amour ou d’amitié
    Moi je l’aime et je peux lui offrir ma vie
    Même s’il ne veut pas de ma vie

    Je rêve de ses bras oui mais je ne sais pas comment l’aimer
    Il a l’air d’hésiter entre une histoire d’amour ou d’amitié
    Et je suis comme une île en plein océan
    On dirait que mon coeur est trop grand


    (E. Marnay / J-P. Lang / R. Vincente)

  • 27. Mon ami m'a quittĂ©e

    Mon ami m’a quittée
    Je vous le dit
    Ça devait arriver à moi aussi
    Je le voyais rêver d’une autre fille depuis longtemps
    Mon ami est ailleurs
    Je ne sais oĂą
    Auprès d’un autre coeur
    Et loin de nous
    À cueillir d’autres fleurs
    Et d’autres rendez-vous

    Moi je regarde les vagues
    Dont la mer Ă©crase les rochers
    Et je voudrais que le calme
    Vienne habiter ma solitude

    Il m’a quittée
    Je vous le dit
    Oui c’est arrivé à moi aussi
    À force de rêver d’une autre fille depuis longtemps

    Mon ami m’a quittée
    C’est trop facile
    C’est la fin de l’été
    Soleil fragile
    Les bateaux sont rangés
    Pour un meilleur avril

    Alors moi je regarde les vagues
    Dans mon coeur quelque chose a bougé
    Il Ă©tait tendre et sauvage
    Et le voilĂ  qui se raconte

    Il m’a quittée
    À la fin de l’été
    Il m’a quittée

    Mon ami m’a quittée
    Je vous le dis
    Oui c’est arrivé à moi aussi
    J’ai fini de rêver du moins pour aujourd’hui


    (E. Marnay / C. Loigerot / T.Geoffroy)

  • 28. Tellement j'ai d'amour pour toi

    Tu m’as ouvert les yeux
    Tu as guidé mes jeux
    Dis-moi ce que tu veux
    Je t’aimerai toujours
    Tellement j’ai d’amour pour toi
    Toi mon premier sourire
    Mon premier souvenir
    Toi qui m’a vu grandir
    Mes bras sont bien trop courts
    Tellement j’ai d’amour pour toi

    Ma vie est faite de tes yeux posés sur moi
    Et quand plus rien ne va
    Je n’ai pas trouvé mieux que le son de ta voix

    Toi le puits de sagesse
    Mon bâton de jeunesse
    Ma source de tendresse
    Tu es mon seul recours
    Tellement j’ai d’amour pour toi

    Et pourtant tu le sais
    Un jour je m’en irai
    Mais jamais tout Ă  fait
    Je reviendrai toujours
    Tellement j’ai d’amour pour toi

    Je donnerai la vie avec cette chanson
    À la petite fille qui portera ton nom
    Tellement j’ai d’amour pour toi

    Maman j’ai besoin de tes yeux posés sur moi
    Tu es ce que je crois
    Et ce que j’ai de mieux et accompagne-moi
    Il peut couler du temps sur tes cheveux d’argent
    Je serai une enfant jusqu’à mon dernier jour
    Tellement j’ai d’amour pour toi

    J’ai tellement d’amour pour toi


    (E. Marnay / H. Giraud)

  • 29. Les chemins de ma maison

    Si j’écrivais le livre de ma vie
    Je parlerais de mon amie Madeleine
    Que j’ai vu rire et pleurer à la fois
    Un matin en sortant de chez moi
    Ce qu’elle a dit
    Je ne l’oublierai pas
    « Que Dieu bénisse ta maison »
    M’a dit Madeleine

    Et moi j’ai compris la chance
    Que le ciel m’avait donné
    De naître où les caresses sentent bon
    Si je dois courir le monde
    Mes pas me ramèneront
    Toujours sur les chemins de ma maison

    C’est là que j’ai grandi
    Là que l’on m’a aimé
    Là que j’ai couru
    Là que j’ai chanté
    L’odeur du feu de bois
    La chaleur du bon pain
    Mon dieu mon dieu

    Si j’écrivais le livre de ma vie
    Il s’ouvrirait avec le coeur
    De ceux qui m’aiment
    Tous ceux qui aussi veulent faire
    En se levant chaque jour
    Un monde oĂą les caresses sentent bon
    Ceux qui sont dans mes prières
    Et tous ceux qui m’attendront
    Toujours sur les chemins de ma maison

    Sur les chemins de ma maison
    Sur les chemins de ma maison

    Sur les chemins de ma maison
    Sur les chemins de ma maison

    Sur les chemins de ma maison
    Sur les chemins de ma maison

    Sur les chemins de ma maison
    Sur les chemins de ma maison


    (E. Marnay / P. Lemaître / A. Bernard)

  • 30. MĂ©lanie

    MĂ©lanie
    Pardonne-moi si je t’appelle ainsi
    Mais les chagrins sont des millions
    Et je rassemble en un seul nom
    Tous les enfants de ma chanson
    Les enfants qui sont au bord de la nuit
    Les enfants qui ne deviendront jamais forts
    MĂ©lanie
    Tu pourrais bien me dire que la vie
    N’a pas fait de toi sa meilleure amie
    Pourtant je te vois qui souris

    MĂ©lanie
    C’est ton courage qui a fait le mien
    Moi qui suis forte à m’émouvoir d’un rien
    Je me calme quand je prends ta main

    MĂ©lanie
    J’aimerais croire que ce prince joli
    Qui réveillait en caressant
    Toutes les belles au bois dormant
    Saurais faire revivre un enfant en musique
    En un seul coup de baguette magique
    Guérir le mal en un instant

    MĂ©lanie
    Tu n’es pas seule si je chante pour toi
    Tu n’es pas seule si l’on entend ma voix
    Tu n’es pas seule le monde est là

    MĂ©lanie
    Tous les chagrins se font déjà moins lourds
    En découvrant qu’on peut aimer un jour
    Et c’est toi qui nous apprends l’amour

    MĂ©lanie


    (E. Marnay / D. Juster)

  • 31. Une colombe

    Une colombe est partie en voyage
    Autour du monde elle porte son message
    De paix, d’amour et d’amitié
    De paix, d’amour à partager
    Et c’est sa jeunesse qui la fait voler
    Une colombe est partie en voyage
    Pour faire chanter partout sur son passage
    La paix, l’amour et l’amitié
    La paix, l’amour, la vérité
    Quand elle ouvre ses ailes
    C’est pour la liberté

    Elle vole
    Elle cherche le soleil
    Elle rĂŞve de merveilles
    Elle espère arriver
    Elle croit
    Qu’il y a quelque part
    Un pays pour l’espoir
    Et qu’elle pourra le voir

    Une colombe est partie en voyage
    Autour du monde elle porte son message
    De paix, d’amour et d’amitié
    De paix, d’amour à partager
    Et c’est sa jeunesse qui la fait voler

    Une colombe est partie en voyage
    Pour faire chanter partout sur son passage
    La paix, l’amour et l’amitié
    La paix, l’amour la vérité
    Quand elle ouvre ses ailes
    C’est pour la liberté

    Une colombe est partie en voyage
    Autour du monde elle porte son message
    De paix, d’amour et d’amitié
    De paix, d’amour à partager
    Et c’est sa jeunesse qui la fait voler

    Et c’est sa jeunesse qui la fait voler


    (Marcel Lefebvre/Paul Baillargeon)

  • 32. Ma chambre

    La vie vient du palier
    Le vent vient de la cour
    Ma chambre est habitée
    Par des secrets d’amour
    À la tête du lit
    Deux tables de chevet
    Une avec un cahier
    L’autre avec un carnet d’amour
    D’amour
    Un cahier d’écolier
    Un carnet des amours
    La vie vient du palier
    Le vent vient de la cour
    Une table Ă  dessin
    Un peignoir rouge et noir
    Charlie Brown et Tintin
    Un meuble à trois tiroirs d’amour
    D’amour

    Les bagues et les photos
    Dans le tiroir d’en haut
    Des adieux douloureux
    Dans celui du milieu
    Quand ma chambre s’éteint
    Et se rallume ailleurs
    J’entends mes robes à fleurs
    Des bouts et des ravins d’amour
    D’amour

    Et les fermoirs de collier
    Les souliers de Lanvin
    Je les entends parler
    Quand ma chambre s’éteint

    Je reviendrai toujours, toujours, toujours, toujours
    La vie vient de la cour
    Toujours, toujours, toujours
    Le vent vient de mon amour

    Les rideaux sont en soie au Waldorf Astoria
    La chasse est en argent à l’Hôtel Saint-Amant
    Ma chambre est en papier
    Les murs sont en amour
    Les plus beaux d’un côté
    De l’autre les plus lourds d’amour
    D’amour

    La vie vient du palier
    Le vent vient de la cour
    Ma chambre est habitée
    Par des secrets d’amour
    Qui commencent à l’école
    Et se rendent ce soir
    Coucher dans des gondoles
    Et des boîtes à mouchoirs d’amour
    D’amour

    Moi quand j’ai besoin de vous
    C’est ici que je viens
    À la pêche aux bisous
    À la chasse aux câlins
    Je reviendrai toujours, toujours, toujours, toujours

    La vie vient de la cour
    Toujours, toujours, toujours
    Le vent vient de mon amour
    Je reviendrai toujours, toujours, toujours
    Parler Ă  mes amours
    Toujours, toujours, toujours
    Le vent vient de mon amour

    (J.P. Ferland / D. Mercure)

  • 33. Ne partez pas sans moi (Grand prix de L'Eurovision 1988)

    Vous qui cherchez l'Ă©toile
    Vous qui vivez un rĂŞve
    Vous héros de l'espace
    Au coeur plus grand que la terre
    Vous donnez moi ma chance
    Emmenez-moi loin d'ici
    Ne partez pas sans moi laissez-moi vous suivre
    Vous qui volez vers d'autres vies laissez-moi vivre
    La plus belle aventure les plus beaux voyages
    Qui mènent un jour sur des soleils sur des planètes d'amour

    Vous les nouveaux poètes
    Vous les oiseaux magiques
    Vous vous allez peut-ĂŞtre trouver
    De nouvelles musiques
    Vous donnez-moi ma chance
    Je veux chanter moi aussi

    Ne partez pas sans moi laissez-moi vous suivre
    Vous qui volez vers d'autres vies laissez-moi vivre
    Le bleu de l'infini la joie d'ĂŞtre libre
    Sur des rayons sur des soleils
    Sur des chansons sur des merveilles
    Et dans un ciel d'amour

    Le bleu de l'infini la joie d'ĂŞtre libre
    Vous qui cherchez une autre vie
    Vous qui volez vers l'an 2 000
    Ne partez pas sans moi


    (N. Martinetti / A. Sereftug)

  • 34. Fais ce que tu voudras

    Si tu t’en vas
    Tout sera vieux
    Et la Terre vivra sans nous
    Je crois en toi
    Et j’aimerais mieux
    Qu’elle tourne avec nous
    Fais ce que tu voudras
    Fais ce que tu veux
    Mais reste ici
    Fais le chaud et le froid
    Et si tu me laisses un peu de pluie
    J’ai mon amour qui fait soleil

    Je dors avec toi
    Même si tu n’es pas là
    Tu es mon rĂŞve unique
    Mon seul pays
    Et mon seul ami
    Et mon amour en musique

    Fais ce que tu voudras
    Fais ce que tu veux
    Mais reste ici
    Fais le chaud et le froid
    Et si tu me laisses un peu de pluie
    J’ai mon amour qui fait soleil

    S’il faut se battre
    Je me battrai aussi
    Je jouerai ma vie
    Ma dernière carte pour te garder

    Fais ce que tu voudras
    Fais ce que tu veux
    Mais reste ici
    Fais ton jouet de moi
    Et si tu me laisses un peu de pluie
    Mon amour changera mes nuits en soleil


    (E. Marnay / R. Grignon)

  • 35. Quand on n'a que l'amour (Live)

    Quand on n’a que l’amour
    À s’offrir en partage
    Au jour du grand voyage
    Qu’est notre grand amour
    Quand on n’a que l’amour
    Mon amour toi et moi
    Pour qu’éclatent de joie
    Chaque heure et chaque jour
    Quand on n’a que l’amour
    Pour vivre nos promesses
    Sans nulle autre richesse
    Que d’y croire toujours
    Quand on n’a que l’amour
    Pour meubler de merveilles
    Et couvrir de soleil
    La laideur des faubourgs
    Quand on n’a que l’amour
    Pour unique raison
    Pour unique chanson
    Et unique secours
    Quand on n’a que l’amour
    Pour habiller matin
    Pauvres et malandrins
    De manteaux de velours
    Quand on n’a que l’amour
    À offrir en prière
    Pour les maux de la terre
    En simple troubadour
    Quand on n’a que l’amour
    À offrir à ceux-là
    Dont l’unique combat
    Est de chercher le jour
    Quand on n’a que l’amour
    Pour tracer un chemin
    Et forcer le destin
    À chaque carrefour
    Quand on n’a que l’amour
    Pour parler aux canons
    Et rien qu’une chanson
    Pour convaincre un tambour

    Alors sans avoir rien
    Que la force d’aimer
    Nous aurons dans nos mains
    Amis le monde entier


    (J. Brel)

  • 36. Ce n'Ă©tait qu'un rĂŞve

    Dans un grand jardin enchanté
    Tout à coup je me suis retrouvée
    Une harpe des violons jouaient
    Des anges au ciel me souriaient
    Le vent faisait chanter l’été
    Je marchais d’un pas si léger
    Sur un tapis aux pétales de roses
    Une colombe sur mon Ă©paule
    Dans chaque main une hirondelle
    Des papillons couleurs pastel

    Ce n’était qu’un rêve
    Ce n’était qu’un rêve
    Mais si beau qu’il était vrai
    Comme un jour qui se lève
    Ce n’était qu’un rêve
    Un sourire sur mes lèvres
    Un sourire que j’ai gardé
    Au-delĂ  de mon rĂŞve

    Le soleil et ses rayons d’or
    Les fleurs dansaient sur un mĂŞme accord
    Des chevaux blancs avec des ailes
    Semblaient vouloir toucher le ciel
    Vraiment j’étais au pays des fées

    Ce n’était qu’un rêve
    Ce n’était qu’un rêve
    Mais si beau qu’il était vrai
    Comme un jour qui se lève
    Ce n’était qu’un rêve
    Un sourire sur mes lèvres
    Un sourire que j’ai gardé
    Au-delĂ  de mon rĂŞve

    Ce n’était qu’un rêve


    (T. Dion / J. Dion / C. Dion)

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